Se replier sur soi-même, fuir les relations sociales (hors COVID), ou se retrouver systématiquement isolé sans raison apparente, le tempérament solitaire est multi-facettes et souvent lié à la dépression.
Dans l’étude de Felix R.Day – Elucidating the genetic basis of social interaction and isolation (2018) , c’est une base de données de 500 000 personnes qui a permis d’identifier des gènes associés soit à des caractères hyper-sociables, soit des gènes associés à des personnalités solitaires.
Puis, ils ont fait l’inverse: chercher les personnes qui expriment ces gènes et vérifier leur tempérament , ce qui fut exact dans 98% des cas.
Plus que cela, cela leur a aussi permis de découvrir une corrélation de la solitude avec les risques d’obésité et de dépression.